Convocation

Keikoku se trouvait assez pret de Anya. En réalité, il ne savait pas si il devait parler avec les gens ici présent, mais bon, il allait pas devenir muet non-plus...

Il la regarda un moment. Il la regardait attentivement, sans pourtant y mettre beaucoup d'intéret...

*Bon... bah allons-y..:*

"Salut... Jw m'appelle Keikoku, et toi c'est quoi ton nom?"

Il lui tandis la main afin qu'elle puisse là lui serrer...

Mizuki n'avait toujours pas bougé.
Ses doigts pianotaient sur le mur froid auquel elle était adossée.
Une prof d'anglais, cette fois...
Il y avait toujours de quoi s'amuser avec un prof de langue, mais au bout d'un moment, ça devenait lassant.
N'y avait-il pas, ici, un professeur de maths ou de physique ?
C'était vraiment les matières qu'elle préférait...

Elle sortit de sa divagation quand elle entendit toussoter derrière elle.
Sans comprendre pourquoi, elle s'avança vers la jeune fille sans accorder un regard au jeune homme près d'elle...

- Tu as besoin d'une diversion ? lui glissa-t-elle simplement, à l'oreille.

Bon, ben si elle voulait passer un minimum innaperçut c'était comme qui dirait mal partie. Voilà maintenant qu'une autre élève se dirigeait vers elle. Mais finalement lorsqu'elle entendit le pourquoi de sa venue, elle ne lui voulait plus autant, surtout que sa douleur s'intensifiait. C'est qui était sûr c'est que du côté professeurs, et surtout, Madame Chose, ah oui, Grand Inquisitrice, ça allait pas forcément plaire.

Elle lui répondit toujours à voix basse.

- Ca ne serait vraiment pas de refus. Mais...

Elle coupa complétement sa phrase et lui demanda.

- Tu n'aurais pas de l'eau par hasard?

Question totalement idiote c'est vrai. Mais c'était où la diversion de la jeune fille. Ou alors elle pourrait tout simplement parler. Après tout, elle savait le faire ça non?

Mizuki sourit. Pas un vrai sourire, une esquisse, comme d'habitude.
Ses lèvres avait oublié comment dessiner une sourire heureux et franc.

- De l'eau ? Au fond du couloir à droite, il me semble... murmura-t-elle à la jeune fille avant de s'éloigner et de s'éclaircir la voix.
En bonne élève qu'elle était, elle leva la main avant de parler... bien qu'elle prit la parole en même temps.
Excusez-moi... Il me semble que vous deviez nous présenter le personnel au complet, non ? déclara-t-elle en s'adressant à la Grande Institutrice. Et où sont-ils ? Je ne voudrais pas paraître impatiente, mais dans un établissement de cette sorte, il me semblerait tout à fait juste que la ponctualité soit mise au premier rang, non ? De plus, comment pouvez-vous nous demander d'être à l'heure si nos professeurs eux-mêmes ne nous montrent pas l'exemple ? Et puis...

La jeune fille se perdit dans un discours sans un mot de travers.
Elle était douée pour manipuler les gens... oui mais aussi pour l'improvisation. Elle jeta rapidement un coup d'oeil en arrière... l'autre élève avait eu le temps de s'éclipser, visiblement.
Elle n'avait pas agit pour elle, non, mais dans son propre interêt. Elle voulait se "défouler" un peu et cette fille lui en donnait l'occasion. Aider quelqu'un ou non, elle s'en fichait royalement.
Si celle-ci lui disait qu'elle était gentille...
Mizuki faillit perdre le fil de son discours de peste - particulièrement ennuyant et inutile, mais irréprochable - à cette pensée loufoque.

Mizuki continuait de débiter son flot de parole lorsqu'elle remarqua un bruit dans le fond de la salle. La directrice se "réveilla" et commença à pencher sérieusement à droite, en se levant légèrement de sa chaise.

- Aussi, conclut-elle plus fort afin d'attirer toute l'attention sur elle, je vous demande de nous faire part des règles à respecter ainsi que de nos droits... Je vous assure les respecter dans les moindres mesures... ajouta-t-elle.

*Ce qui ne m'empêchera pas de faire ce que je veux...*

-Recontré?... bah au moins tu est tombé sur quelqu'un toi!.... j'ai vu "que dalle" en arrivant...

Il ajusta la couroie de on saca lors que la professeure d'anglais se mettait a parler, il sourit l'anglais... Il était passablement douer dans cette matière. Voyager, mettait son language a l'épreuve et lorsque le francais ne fonctionne plus, il ne reste qu'en dernier recour une langue univercelle, l'anglais! il ne doutait pas de son importance dans ce lieu! Mais il avat hate de voir quel serait la qualité de l'enseignement d'art martiaux, et si cela lui plaisait, il se donnerais a fond pour être dans la meilleur catégorie.... pour en aprendre plus, pour les metre tous a carreua, tout ceux qui oserais se metre dans son chemin.... Il savait, présentait que seul le plus fort pourrait obtebir quelque chose, mais il fallais aussi se serré les coudes... Il s'arrangerais pour que cela aussi soit corect, pour que tous s'entende!...

-Je déteste aussi les discourt....c'est inutile...

alors une jeune fille se mit a parler, pour expliquer toute sorte de chose, elle disait a peu près n'importe quoi, alors que le jeune homme percevait du coin de l'oeil un mouvement qu'il n'eut pas le temps de reconaitre... il soupira et croisa les bras devant lui ce serait long... et dire qu'il venait de parler de long discour... queand on parlais du loup... le voila toujours qui venait...

Keikoku avait remarquer que la fille n'avait pas l'aire en bonne santé. Il se demanda en premier temps si elle n'était pas asmathique... Ou peut-être une crise d'angoisse???

Keikoku la vit partir avec cet aire un peu... inquiet. Keikoku n'est pas du genre à passer à côté de ce genre de truc. Il aime bien aider les gens...

Il se leva donc et la suivit sans trop se presser.... Il ne voulait pas donner l'impression que c'était un pervers ou on ne sait quoi... Et il ne voulait pas faire peur à la fille.

Il vit la fille s'aretter dans le couloir et l'interpela au moment ou elle approchait de la porte. Elle était toute éssouflée. Keikoku s'en inquiéta.

"Heu... escuse-moi. Et ce que tout va bien? ^^'"

Il attendit qu'elle se retourne pour reprendre

"J'ai vu que tu n'avais pas l'aire bien. Tu es sûr que tout va bien?"

Même si keikoku est déprimant, quand il s'inquiète pour quelqu'un, il a un visage qui inspire l'assurance et la confiance.

- Mademoiselle, ne me prenez pas pour une idiote, et avant de déblatérez vos inepties, commencez par être plus discrète...un discours aussi long sans raison apparente, c'est ridicule, j'ai bien vu les échappés, et ils auront ce qu'ils méritent ne vous inquiétez pas. Ensuite la raison du retard de ces professeurs, mais aussi de l'absence de plusieurs membres du personnel, ne dépend pas de moi, mais de mes supérieurs, qui se feront une joie je suis sûre de recevoir vos leçons, mais ils risquent fort de vous en infligé eux aussi.
Vous aimez parler? Eh bien vous irez prévenir les fugitifs, qu'ils ont en rendez vous dans mon bureau. Maintenant taisez-vous.

Vous voulez des règles à respecter, en voilà, pas de baladeur, , mp3 ou autres ailleurs que dans vos dortoirs,si quelqu'un en utilise un dans le couloir ou en cours, à moins qu'on ne vous y invite, ne parlez pas, ensuite à après le couvre feu, pas d'insubordination, pas de mélange dans les dortoirs. Les portables sont interdits, sauf si vous acceptez de mettre votre ligne sur écoute. *Cette dernière règle n'est pas de moi, et je ne l'approuve pas.* Vous devez être présent à tous les cours, rendre vos devoir, vous pliez aux règles de vos professeurs,vous présentez à toutes les convocations.

Vous voulez des droits, vous avez le droit d'obéir. Le droit de respirer, de respecter les règles, le droit de sortir après les cours, c'est à dire, de 18heures à 22h00, sauf exercice spécifique, vous avez le droit au repos dominical, sauf exercice spécifique. L'électricité dans les dortoirs est coupée à partir de minuit, bien qu'il vous soit vivement conseillé de dormir avant...
Pour demande spécifique de sortie, vous avez le droit de faire une demande....
Si vous êtes malades ou blessés en attendant une infirmière disponible, vous me trouverez dans mon bureau ou vous trouverez sûrement un de vos professeurs disponibles.


Quant au fait que les professeurs soient incapables d'être à l'heure...- elle jeta un regard noir à Mr valentine, quelle idiotie un professeur si jeune. - ce n'est pas exactement mon problème, c'est à eux de se faire respecter et d'être respectable. Je ne peux pas l'être pour eux.

Une dernière chose, je veux une lettre dans mon bureau le plus rapidement possible résumant ce pour quoi on vous à dit que vous étiez ici, et ensuite, pourquoi avaient vous accepté....si vous avez accepter bien sûr...
*avec ces crétins de généraux on ne sait jamais...*

Elle avait parler d'un ton calme avec un débit rapide, il en faudrait plus pour l'énerver. Cette gamine ne ferait pas la loi ici, et elle se demandait vraiment comment on pouvait être aussi idiote avec un QI supérieur à 200...* si ils s'imaginent que comparer leur puissance va les aider....moins ils en diront mieux ils s'en porteront *

Elle descendit de l'estrade et regarda tous les élèves sortir, pressés comme elle l'aurait été, et murmura à Mizuki qui passa devant elle "méfie-toi...".Elle n'était pas à l'école, elle était peut-être supérieur par son intelligence, mais pas par son expérience. Il ne fallait pas qu'elle l'oublie, ni qu'elle soit trop sur d'elle. ce n'était pas des autres qu'il fallait qu'elle se méfie mais d'elle même.

La salle se vidait et à présent, il ne restait quasiment plus personne.
Mizuki sursauta lorsqu'elle entendit une voix derrière elle...
C'était le professeur d'art martiaux, qui s'était présenté en premier.

Elle le ratrappa rapidement.

- Vous auriez préféré qu'il soit pour vous ? lui demanda-t-elle simplement.

Elle n'était pas enervée, non, mais très surprise. Surprise qu'enfin une personne ait pu lui tenir tête.
Tellement éttonée d'ailleurs, qu'elle en avait perdu tous ses moyens.
Elle repensa à la fille qui s'ettoufait tout à l'heure, et se demanda si elle allait mieux ; après tout, c'était elle la raison de ce "bavardage".

Elle ne laissa pas au professeur le temps de lui répondre et parti en direction des chambres.

"MAis aufait... Tu es victime d'une maladie? Je veux dire, que nous vaut ce soudain malaise, tout à l'heure?"

Il pausait la question hyper indiscrète juste come ça. Enfait c'était juste qu'il s'inquiétait pour la fille.

*Finalement, c'est pas mes affaires..:*

"Enfait, tu n'es pas obligées de me répondre... çA ne me concerne pas après tout..:"